Jean ne comprend pas. Après 15 ans de mariage, tout s’effondre. Cécile est partie, les valises sous le bras et la phrase fatale :
“J’étouffe. Je préfère partir.”
Jean s’est gratté la tête toute la soirée. “J’étouffe ? Mais on a tout ! Une belle maison, une voiture hybride, même un abonnement Netflix. Où est le problème ?”
Eh bien, Jean, le problème… 𝐜’𝐞𝐬𝐭 𝐥𝐞 𝐩𝐚𝐫𝐤𝐢𝐧𝐠.
Reprenons l’histoire depuis le début.
Il y a 5 ans, Cécile a installé son bureau chez elle, dans l’annexe de cet hôtel particulier d’une ville thermale. Un bureau lumineux, avec accès direct pour ses patients en shiatsu.
… jusqu’à ce qu’on y construise un parking juste devant ses fenêtres. Exit la vue dégagée sur les arbres. Bonjour les voitures, les effluves d’essence et une sensation d’écrasement permanent.
Et c’est là que tout a basculé.
Ce que Jean ne sait pas, c’est que l’énergie du lieu dans lequel on travaille agit sur nous 𝐜𝐨𝐦𝐦𝐞 𝐮𝐧𝐞 𝐭𝐨𝐢𝐥𝐞 𝐝𝐞 𝐟𝐨𝐧𝐝 𝐢𝐧𝐯𝐢𝐬𝐢𝐛𝐥𝐞.
⚠️ Ce parking devant le bureau de Cécile ? Il a littéralement bloqué les flux énergétiques.
⚠️ La façade grise et le béton omniprésent ? Ils ont amplifié son sentiment d’enfermement.
⚠️ Et cette lumière froide qui rebondit sur les capots de voiture ? Elle a drainé toute sa créativité.
❗️Résultat : chaque journée au bureau devenait une épreuve. Et, comme une goutte d’eau qui finit par fissurer un rocher, ce mal-être s’est infiltré dans sa vie personnelle, jusque chez Jean.
Mais l’histoire aurait pu être différente.
Si seulement le maître d’œuvre missionné par l’immeuble à côté avait pris en compte l’énergie du lieu avant de poser ce parking.
✅ Une conception réfléchie aurait permis :
☀️De préserver la vue pour permettre à l’énergie de pénétrer dans le bureau.
☀️D’équilibrer les éléments, plutôt que de bétonner à l’aveugle.
☀️De créer une allée verte entre le parking et le bureau, au lieu de renforcer l’étouffement.
Parce qu’un lieu, ce n’est pas qu’un assemblage de murs et de fenêtres. C’est un écosystème. Et 𝐪𝐮𝐚𝐧𝐝 𝐜𝐞𝐭 𝐞́𝐜𝐨𝐬𝐲𝐬𝐭𝐞̀𝐦𝐞 𝐬𝐞 𝐝𝐞́𝐫𝐞̀𝐠𝐥𝐞, 𝐢𝐥 𝐢𝐦𝐩𝐚𝐜𝐭𝐞 𝐭𝐨𝐮𝐭 : notre productivité, nos émotions, et parfois… nos relations.
Alors, si vous voulez éviter les drames façon Jean et Cécile, pensez-y : l’énergie d’un espace nourrit l’énergie d’une vie.